Sport
Afrique : Francis Ngannou lance la toute première ligue panafricaine de MMA
L’ancien champion poids lourd de l’UFC, aujourd’hui président de PFL Africa, passe à l’action en lançant la toute première ligue panafricaine de MMA. Un projet ambitieux qui marque un tournant historique pour les arts martiaux mixtes sur le continent.
Le 26 juillet 2025, l’histoire s’écrira au GrandWest Arena du Cap, en Afrique du Sud. Ce sera le théâtre du tout premier événement 100 % africain de la PFL (Professional Fighters League), avec des combattants venus de tout le continent : Cameroun, Sénégal, Maroc, Zimbabwe… Un casting explosif pour une soirée qui promet d’allier talent brut et ferveur locale. Francis Ngannou est déterminé à offrir aux jeunes talents africains une plateforme digne des plus grandes organisations mondiales.
Diffusée en direct sur Canal+, SuperSport, et la plateforme CFM, la PFL Africa promet une visibilité inédite pour les combattants africains et une nouvelle ère pour les fans du MMA sur le continent. Ce projet va bien au-delà du sport : il s’agit de créer des opportunités, des carrières et un écosystème durable autour du MMA en Afrique.
Le compte à rebours est lancé. Le 26 juillet, le MMA africain prendra son envol sous les projecteurs du monde entier. Et comme toujours, Francis Ngannou n’est pas là pour faire dans la demi-mesure.
Baptisé au nom du défunt président, Maréchal Idriss Déby Itno, le nouveau stade de N’Djaména est le plus grand du pays.
Le président tcahdien, Mahamat Idriss Déby Itno a inauguré vendredi 23 mai 2025 le nouveau stade de N’Djaména baptisé au nom de son défunt père, Maréchal Idriss Déby Itno.
D’une capacité de 30 000 places, ce stade est un don de la République populaire de Chine au Tchad. Il découle des promesses faites dans le cadre du Sommet sino-africain de 2017.
Construit à la sortie Est de N’Djaména, au quartier Mandjafa, il est le plus grand stade du pays, détrônant le stade Idriss Mahamat Ouya d’une capacité de 20 000 places.
Dans son discours inaugural, le chef de l’Etat a salué cette coopération « agissante » entre les deux pays. Il a cité notamment la construction du Palais de la démocratie, siège de l’Assemblée nationale, l’hôpital de l’amitié Tchad-Chine, la raffinerie de N’Djaména, tous des œuvres de la Chine.
En signe de reconnaissance, le Président Mahamat Idriss Déby Itno a instruit le gouvernement « de baptiser, une des grandes avenues de la capitale, au nom du Président Xi Jinping. »
Le début d’une nouvelle ère
L’inauguration de ce joyau sportif marque le début d’une nouvelle ère pour le football tchadien.
« Avec ce stade, le Tchad pourra accueillir dignement des compétitions nationales et internationales (…) se passant de tous besoins de location », a exprimé le Président Mahamat Idriss Déby Itno à l’inauguration.
Depuis plus de 5 ans, le Tchad ne dispose pas d’un stade homologué par les instances internationales de football. Ce qui oblige l’équipe nationale de football à jouer des matches à l’extérieur. Une asphyxie financière de plus pour la Fédération, plongée entretemps dans une crise de leadership.
En plus du terrain de football, le nouveau stade de N’Djaména peut accueillir des matchs de basketball, de handball, etc.
Pour insuffler un souffle nouveau au football tchadien, le président de la République a annoncé que 14 terrains seront aménagés pour accueillir des compétitions de diverses disciplines et 14 autres seront attribués aux clubs de première division de N’Djaména.
L’ambition est de « faire du sport un levier d’unité, d’inclusion, de brassage, d’épanouissement et de rayonnement international », a-t-il fait savoir.
Source : https://fr.apanews.net/news/tchad-inauguration-du-nouveau-stade-de-ndjamena/
La République démocratique du Congo (RDC) organisera le 41e Championnat d’Afrique de lutte en 2026.
L’annonce a été faite mardi 20 mai à Kinshasa par le président de la Fédération congolaise de luttes associées, Éric Kinzambi.
La capitale congolaise a été choisie pour abriter cette compétition notamment grâce à ses infrastructures modernes construites pour les Jeux de la Francophonie.
Le président de la Fédération congolaise de luttes associées a, d’ailleurs, sollicité et obtenu l’appui de l’expertise des Jeux de la Francophonie, représentés par son directeur national, Isidore Kwandja.
Depuis le succès de ces jeux et plusieurs de ses héritages laissés, la RDC est désormais en mesure d’accueillir toutes les compétitions continentales, estiment certains dirigeant sportifs.
C’est déjà le cas avec l’organisation réussie de la 26e édition du Championnat d’Afrique féminin de handball, qui s’est tenue du 27 novembre au 7 décembre 2024 aux Gymnases jumelés du stade des Martyrs, ainsi que la 21e édition du Championnat d’Afrique de boxe amateur prévue en octobre 2024.
Le 41e Championnat d’Afrique de lutte 2026 sera donc la troisième grande compétition continentale organisée par le pays depuis ces Jeux, et ce n’est pas fini, soutiennent de nombreux dirigeants sportifs.
Grâce à l’expertise, aux ressources humaines qualifiées et aux infrastructures disponibles, le Comité national des Jeux de la Francophonie mettra tous ces atouts à disposition des fédérations sportives, selon leurs besoins, afin de promouvoir le rayonnement du pays.
Dans son allocution aux médias, après son entretien avec le directeur des Jeux de la Francophonie, Éric Kinzambi a souligné l’importance de s’appuyer sur cette dynamique en collaborant étroitement avec le comité pour assurer le succès de ce championnat, qui sera organisé pour la toute première fois en Afrique subsaharienne.
Il précise que la RDC a le privilège d’accueillir cette compétition majeure.
De son côté, Isidore Kwandja a rappelé que la lutte a toujours été l’une des disciplines phares des Jeux de la Francophonie. Bien avant ces Jeux, la lutte avait été choisie pour la compétition test, ce qui a permis la formation des arbitres nationaux, des bénévoles et des techniciens. Cet acquis sera un atout majeur pour la réussite de ce championnat.
« Organiser ce championnat de lutte contribuera également à rafraîchir les infrastructures, à les maintenir en bon état et à les garder toujours prêtes », a conclu le Directeur national des Jeux de la Francophonie.
L’attaquant de Liverpool Mohamed Salah a été élu « footballeur de l’année » en Angleterre pour la troisième fois vendredi, tandis que l’attaquante d’Arsenal Alessia Russo a remporté le prix féminin.
Salah avait déjà remporté ce prix, décerné par la Football Writers’ Association, en 2018 et 2022. Thierry Henry, le grand joueur d’Arsenal, est le seul autre joueur à l’avoir remporté trois fois.
Le prix de la FWA est le plus ancien prix individuel de football au monde. Il a été décerné pour la première fois en 1948.
La FWA a déclaré que Salah avait remporté 90 % des votes exprimés par plus de 900 membres, ce qui en fait « la plus grande marge de victoire de ce siècle ». Son coéquipier Virgil van Dijk est arrivé deuxième et l’attaquant de Newcastle Alexander Isak troisième.
Salah est l’auteur du plus grand nombre de buts (28) et de passes décisives (18) en Premier League cette saison et a joué un rôle clé dans la conquête du titre par Liverpool pour la deuxième fois en cinq ans.
Russo a terminé devant l’attaquante de Manchester City Khadija Shaw et sa coéquipière d’Arsenal Mariona Caldentey. Le président de la FWA, John Cross, a déclaré que les performances de Russo dans la Ligue des champions féminine l’avaient aidée à se démarquer.
Arsenal, qui est deuxième de la Women’s Super League, a atteint la finale de la Ligue des champions après avoir battu Lyon, huit fois vainqueur, en demi-finale.
Source : https://fr.africanews.com/2025/05/23/football-mo-salah-elu-meilleur-joueur-de-premier-league/
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